mardi 30 décembre 2014

Gastro et grippe : comment éviter la contamination ?

Quelles sont les précautions à prendre pour limiter les risques de contamination en cas de gastro-entérite ou de grippe ? Hassan Rakid vous propose de connaître quelques gestes simples qui peuvent vous éviter d'attraper ces virus typiquement hivernaux.

Un lavage des mains minutieux et régulier

Voilà un réflexe simple à adopter : se laver les mains le plus régulièrement possible. Bien sur, à la sortie de toilettes mais pas seulement. Après vous être mouché, avoir éternué,  être sorti d'un lieu public (ex: transports en commun) ou avant d'être en contact avec de la nourriture, savonnez vous bien les mains sous l'eau. Et ci cela n'est pas possible, vous pourrez alors utiliser du gel hydroalcoolique qui ne nécessitera ni rinçage ni séchage.

Limiter les contacts physiques

Les virus se propagent à vitesse exponentielle via les postillons, la toux et les éternuements. Pensez donc à vous couvrir la bouche au moment opportun.
Evitez d'embrasser vos proches ou de leur serrer la main (une bise ou poignée de main étants tous deux vecteurs de contamination)
Enfin, ne partagez pas vos objets personnels tels que votre brosse à dent ou verre

Porter un masque


Les personnes atteintes ou porteuses de virus peuvent porter un masque chirurgical pour limiter les contacts. Attention toutefois, il faut toujours se laver les mains avant de l'utiliser et le changer toutes les quatre heures maximum ou s'il est mouillé.
Ce type de masque se trouve en pharmacie.

lundi 15 décembre 2014

Restos du coeur 2014

Cette association créée en 1985 œuvre à aider les plus démunis en leur fournissant des denrées alimentaires via la distribution de repas à ceux-ci. Elle fournit également un logement aux plus nécessiteux en leur proposant des centres d’hébergement d’urgence, lieux de vie , résidences sociales ou encore des Points d’information Logement (PIL).

Deux campagnes sont mises en place : l'une en hiver (novembre-mars) et l'une en été (avril-octobre)

Une notoriété affirmée

Dès leur début, les Restos du Cœur ont bénéficié d'une médiatisation importante ainsi que du soutien de plusieurs personnalités françaises, ce qui a attiré la participation de nombreux bénévoles ainsi que l'obtention de subventions (deuxième source de revenus de l'association après les dons)


Quelques chiffres

Les Restos du cœur comptent onze antennes nationales, 2090 centres et 119 associations départementales.
En 2013-2014, l'association a pu aider plus d'un million de personnes en difficulté, grâce au travail de plus de 67 000 bénévoles ayant permis la distribution de 130 millions de repas.


Pour en savoir plus, vous pourrez visiter le site officiel de l'association.

vendredi 8 août 2014

La solidarité fraternelle contre la précarité et l’exclusion sociale

Aujourd’hui, j’ai envie de partager avec vous la vidéo de l’appel à la solidarité de l’Abbé Pierre en 1954. Cet homme au grand cœur et d’une bonté sans égale n’a pas ménagé ses efforts pour faire renaitre un peu d’espoir parmi les déshérités.

Ainsi, il crée en 1953 Emmaüs afin de rendre aux plus vulnérables de la société un peu de dignité, et, malgré sa disparition, des hommes et des femmes continuent son combat contre la précarité et l’exclusion sociale.

Abbé Pierre, appel à la solidarité du 1er Février 1954


mercredi 6 août 2014

La charité de l’église en faveur des victimes

Dorénavant, l’église pourrait s’engager en matière d’aide aux victimes de placements forcés des enfants par la collecte des dons, c’est ce que propose Mgr Charles Morerod

L’initiative de la quête

Dès son lancement en début juin, cette initiative avait apporté plus 45 000 signatures en deux seulement sur les 100 000 exigées. Ce délai s’allonge jusqu’au 1er octobre 2015 permettant la création d’un fonds de 500 millions de francs Suisse en faveur des victimes. 

Ce fonds sera utilisé à des fins d’assistance aux victimes pour une réinsertion réussie. 

Retrouvez ici, l’intégralité de l’interview de Mgr Charles Morerod sur le site de 20min.ch

mardi 29 juillet 2014

Victimes d’infraction pénale… choix entre juge pénal ou civil

Lors d’une infraction pénale commise, les victimes ont droit à plusieurs options pour obtenir réparation du préjudice subi. Elles disposent d’une action civile à exercer selon le choix, soit devant un juge civil/administratif ou pénal.

Les règles d’encadrement de l’option !

  • Restriction de l’existence d’une option
Dans le cadre de l’article 3 et 4 du code de procédure pénale, la victime d’infraction pénale dispose d’un choix en terme d’action. Soit elle décide de l’exercer devant un juge civil ou pénal. 

En revanche, l’exercice de cette fonction n’est pas systématique en raison des règles de procédure qui peuvent priver la victime de ce droit. Il s’agit entre autre des règles relatives à la prescription, à la compétence autonome du juge administratif et à l’existence d’une cause subjective d’irresponsabilité pénale.
  • Le régime juridique du choix opéré par la victime
La victime peut prétendre à un choix au cas où les conditions de l’action civile sont remplies et qu’aucune règle procédurale n’empiète sur les voies de recours possibles. Toutefois, une fois le choix fait, la victime ne pourra plus revenir sur sa décision.

vendredi 25 juillet 2014

Les associations d'aide aux victimes

Connaitre les associations d'aide aux victimes proches de chez vous

Sachez que les associations relais aide solidarité, aide aux victimes écoutent, informent et orientent toute personne ayant subi un préjudice corporel, matériel ou moral.Ces associations d'aide aux victimes sont subventionnées pour la plupart par le ministère de la Justice. 

Elles accueillent les victimes d'infractions pénales, les informent de leur droit en leur proposant un soutien psychologique, accompagnement tout au long de la procédure judiciaire. 
 

Où trouver ces associations

Dans les principaux tribunaux de grande instance, il existe des bureaux d'aide aux victimes, mais qui sont tenus par des associations d'aide relais solidarité ou d'aide aux victimes. 

Elles informant les victimes sur le fonctionnement de la justice en général, les procédures en cours et les modalités pratiques de recouvrement des dommages et intérêts à la suite des jugements rendus. 

La prise en charge du dispositif!

Le dispositif de prise en charge pluridisciplinaire est assuré par environ 173 associations d'aide aux victimes proximité sur l'ensemble du territoire. 

Pour contacter une des ces associations de votre département, cliquer sur ce lien